13 novembre 2007
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Un éléments important, bien que peu pris en considération, est en mesure de déterminer la plus ou moins grande durée du conflit social qui s'engage : le temps qu'il va faire.
En 1995, la météo clémente a servi les grévistes : l'absence de pluie, parfois le soleil, ont donné un air festif aux transports improvisés. Même les déplacements en camion militaire prenait une tonalité joyeuse. Nul doute que des heures à pied, en vélo ou en roller, passées sous une pluie battante auraient considérablement amoindri la magnanimité des usagers des transports à l'égard des grévistes.
Or en cette veille de grève, que les grévistes souhaitent placer sous le haut patronage de "Celles de 1995", le temps est maussage, la pluie tombe... sur la région parisienne tout du moins. Si elle se maintient, il est possible que dès la fin de la journée du mercredi 14 novembre soit épuisé le capital tolérance ou sympathie accordé aux grévistes.
En 1995, la météo clémente a servi les grévistes : l'absence de pluie, parfois le soleil, ont donné un air festif aux transports improvisés. Même les déplacements en camion militaire prenait une tonalité joyeuse. Nul doute que des heures à pied, en vélo ou en roller, passées sous une pluie battante auraient considérablement amoindri la magnanimité des usagers des transports à l'égard des grévistes.
Or en cette veille de grève, que les grévistes souhaitent placer sous le haut patronage de "Celles de 1995", le temps est maussage, la pluie tombe... sur la région parisienne tout du moins. Si elle se maintient, il est possible que dès la fin de la journée du mercredi 14 novembre soit épuisé le capital tolérance ou sympathie accordé aux grévistes.